Les métiers des parents

vendeuse de poisson au marché

la maman de Rachidatou

 Ma maman s’appelle Sawadogo Minata.Nous étions en Côte d’Ivoire puis nous sommes venues

au Burkina Faso pour rendre visite à ma grand mère qui etait Malade  puis la guerre en Côte d’Ivoire a commencé donc ma mère a décidé de

s’installer à Bobo Dioulasso et de vendre quelque chose.  Un jour qu’ elle réfléchissaient à  ce qu’elle pouvait faire, elle est arriveé  au  marché et il y avait un veille femme.  La  veille  femme  l’appelle:

« – Mon  enfant  tu cherches  quelque chose? et elle repond:

–  Je cherche quelque  chose pour  vendre. La   vieille femme repond:

– Tu peux vendre du poisson à côte de moi. Ma maman répond:

–  oui »

Et elle commence à vendre les  poissons.  Les poissons viennent de la Côte  d’Ivoire. Il ya les  maqueraux, les  mahis, les  sardines. Elle grille les poissons. Parfois je  l’ aide et je vends les poissons grillés en me déplaçant dans le marché. Si je vends beaucoup de poissons, elle m’achète  des  habits pour moi et ma petite soeur. Si elle veut me donner de l’argent, je refuse de le pendre. Son surnom est « Mama san » car avant, elle vendait du bissap et quand on vend du bissap, on crie « aïna bissap san * »

Je suis très  fiere de ma MAMAN.

Rachidatou

*Viens acheter du bissap

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Coiffeuse

La mère de Bintou  tresse les cheveux des gens. Elle a commencé à tresser à l’âge de 10 ans.

Elle a mis une  pancarte devant sa  boutique où il y a des coiffures dessinées.

Elle tresse bien mais la somme de ses coiffure est chère surtout le tissage des tresses avec les mèches : 2500f cfa. Si tu veux te faire tresser, il faut choisir le modèle que tu aimes et tu demandes sa somme.

Pour tresser il faut une peigne et une bandjigi .

La mère de Bintou dit qu’elle aime beaucoup tresser. Elle gagne beaucoup d’argent pendant les fêtes car tout le monde veut une belle coiffure lors de ces occasions. 

La pancarte présentant le sallon de coiffure et de manucure de la maman de Bintou

Salimata, Arjetou et Alimatou

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Tisseuse

        Nous sommes allés interviewer la tante de Salimata chez elle. Elle tisse dans sa cour avec 3  autres femmes.

Nous voudrions parler de vous dans notre journal

Réponse de la tisseuse : !ok !pas de problème

Comment vous vous appelez ?

 Moi, c’est madame Zongo Adjara née Ouedraogo

Depuis quand vous êtes devenus tisseuse ?

Depuis 2006 j’ai commencé le tissage.

Aimez-vous ce travail ?

Oui, j’adore ce que je fais. Le tissage est un art. C’est la transformation aussi du coton qui est une culture de mon pays qui me plaît. le pagne tissé est le faso danfani .

Le tissage est -il difficile ou facile ?

Il n’y a  pas de travail facile mais l’amour de la chose le rend facile. Comme dit l’adage : vouloir c’est pouvoir.

Qu’utilisez-vous pour le tissage?

 J’utilise un métier appelé métier à bras. Il est à 2 pédales. L’ accessoire du métier le plus  important est le fil de coton. 

Comment vous tissez ? 

Le tissage est manuel :c’est à la main .

 

Salimata, Ismaël, Rachidatou , Bintou et Salif

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Mécanicien

Mon frère est un mécanicien .Il a commencé il y a 3 ans. Il est âgé de 18 ans. Chaque matin il prend son vélo pour aller au travail. Il répare les vélos, les motos et des voitures sur le goudron, à Bindougousso. Mon frère répare les pistons bloqués, les chambres à air percées, les gentes brisées, les chaînes cassées. Le matin, à 7 heures 30, il part au travail. Le soir à 17 heures il vient à la maison et il vend des clés de moto. Il gagne de l’argent. Il le donne à ma mère pour qu’elle achète ses habits de fête et ses chaussures.

Abdoulaye et Salif
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Vendeur de pagne

Mon papa est vendeur de pagne. Il part au Ghana en bus pour acheter les pagnes. Il les donne ensuite à mon grand père qui les vend au grand marché de Bobo. Il achète le real 2000 FCFA et il les vend 3500 FCFA les 3 pagnes.
Le real est un tissu de bonne qualité.
Mon papa part 3 ou 4 fois par mois au Ghana et il revient au bout de 5 jours.

Abass